Spectacle événement du Quatuor Debussy à la Philharmonie de Paris le 12 mai 2019
Dimanche 12 mai à 20h30, retrouvez le Quatuor Debussy dans la Grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris pour le spectacle événement Opus avec la Compagnie Circa.
Une date unique à ne pas manquerOpus - Bande annonce officielle Dimanche 12 mai à 20h30, le
Quatuor Debussy et la compagnie australienne Circa se retrouveront à l'occasion d'une date unique dans la Grande Salle Pierre Boulez de la Cité de la Musique - Philharmonie de Paris pour vous présenter le spectacle Opus. Depuis sa création en juin 2013 au Festival des Nuits de Fourvière à Lyon, et avec aujourd'hui plus d'une centaine de dates à son actif, Opus rencontre un succès unanime et encore grandissant à travers le monde. À l’aube de cette représentation exceptionnelle, et suite à une tournée la saison dernière en Australie et au Japon, le ballet circassien poursuit sa route ininterrompue, les musiciens prenant toujours part au tourbillon scénique, déambulant au milieu des acrobates. Opus a su convaincre en proposant un spectacle échevelé mêlant acrobaties et
musique de chambre russe (les émouvants quatuors de Dimitri Chostakovitch). Pour ce projet, le Quatuor Debussy a collaboré avec la troupe
australienne Circa, composée d’une dizaine d’acrobates étonnants menés
par Yaron Lifschitz : deux traditions qui s’emmêlent et forment une
véritable osmose, une rencontre excitante
et riche en émotions, qui a déjà séduit et rassemblé les amateurs
des deux arts ces dernières années. Vous souhaitez découvrir ou redécouvrir Opus dans le cadre exceptionnel de la Grande Salle Pierre Boulez ? Attention, dernières places disponibles ! >> Informations & Réservations << Crédit photo Michel Cavalca
« J’ai rarement écouté la musique de Chostakovitch avec autant d’attention »
The New York Times « La rencontre entre acrobates et musiciens de chambre virtuoses a
produit un miracle : bouche bée, le public des Nuits de Fourvière, où
cet Opus était créé en première mondiale le 19 juin, l’a vécu comme
un rêve »
Les Échos « Les spécialistes du compositeur russe » Libération « Lorsque le quatuor a joué les premières notes d’ouverture de l’Adagio de Dimitri Chostakovitch, ils semblaient être suspendus au-dessus de
vagues surréalistes d’un océan diaphane »
The Daily Californian
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